Messages : 84 Réputation : 1 Date d'insciption : 22/08/2012
Fiche du personnage âge : 24 ans présentation: En route pour la chasse ! Une bonne biche fera l'affaire ! :p Niveau: Cow(girl/boy) IntermédiaireTilla | Sujet: Découverte de la chambre de Tilla. Ven 23 Nov - 12:15 | |
| Je marcha en direction de l’escalier sur la pointe des pieds pour me réveiller personne. Je fis très attention de ne pas empreinte les marches grinçantes. Après ce petit parcours du combattant, je me trouvais dans le couloir où toutes les chambres s’alignaient les unes après les autres. Je n’osais pas avançais et quelque chose me retenais : sûrement la boule dans mon ventre. C’est une des rares fois où j’avais peur surtout d’échouer encore une fois. Je ne voulais plus que cela arrive. Par conséquent, je m’étais arrêtée en plein milieu du couloir sans m’en apercevoir. Je pris mon courage à deux mains et avança tranquillement. La porte qui s’approchait m’appelait ; je le sentais dans mon cœur. Toute personne n’aurais pas compris ce qui m’arrivait si elle n’avait pas été à ma place en ce moment même. C’est comme si l’on me tirait par le bras. Plus je progressais plus mon mal de ventre parti, je me sentais comme libérée, sans contrainte. J’étais plantée devant la porte à avoir des doutes, à penser des évènements qui s’étaient passés ces derniers jours. Je pensais fort et croyais en moi. Je me dis que j’avais ma place aussi et qu’enfin je pouvais recommencer une vie. J’avais une nouvelle forêt à découvrir, à comprendre, à analyser dans tout ces domaines. Je voulais savoir tous ces recoins car c’était mon terrain, ma vie entière en dépendait. Mon cœur battait très lentement, il était tellement imperceptible que je ne le sentais plus comme lorsque je chassais une proie et étais prête à tirer une flèche encochée. J’étais calme à présent, je leva doucement la main. Pris la poignée et appuya progressivement dessus. Elle ne résista pas, je poussa doucement la porte : elle s’ouvrir. A ce moment là, j’étais tellement heureuse que je ne pouvais plus bouger. Je regardais de mes grands yeux rond ma nouvelle chambre. J’étais ébahis et avant tout heureuse. J’avais un grand lit bien douillet avec au dessus de la fourrure. J’avais également un coin lecture juste à côté de mon lit. Je me serais cru dans un chalet en montagne : le meilleur est que j’avais vu sur la forêt qui était pour moi la chose la plus importante de ma vie, de mon existence. Je pouvais l’observer à ma guise avec un télescope ! Que demander de plus ! J’arrêta mon regard sur le siège où je pouvais lire tranquillement. Il y avait un livre poser dessus, je le pris et reconnu tout de suite cette magnifique écriture : c’était celle de mon père ! Il avait écrit un livre pour apprendre la végétation de la forêt avec et beaucoup d’autres choses comme les pattes des animaux forestiers, les outils à utiliser ou à avoir sur soit en chasse. Les larmes montaient en moi et je me laissais submerger par mes émotions. Assise sur mon lit, je repris mes esprits et continua la visite. Je regardais autour de moi pour savoir si j’avais bien découvert chaque objets. Je vis sur un pan de mur un petit trou que personne n’aurait aperçut s’il n’avait pas fait attention. Je m’approcha de plus en plus et tira le pan : c’était un porte dérobée ! Derrière je découvrir une magnifique salle de bain avec des pierres qui me rappellera toujours ma forêt adoré. J’étais émerveillais. Après tous ces événement je fus heureuse. Quoi de plus pour se donner la force de vivre de tout con cœur surtout quand le ranch me donne le fameux livre qu’il m’a fabriquer de ses propre mains. J’étais exténuée de cette journée. Je décidais de prendre pour la première fois dans ma chambre une douche bien chaude. Je profitais de cette eau qui coulait sur ma peu pour fermer les yeux et souffler un bon coup. Je pris une serviette en sortant de la douche, elle m’avait fait du bien et avait relaxé mes muscles endoloris par la quête. Je me séchais et me stoppa devant une armoire, je l’ouvris et trouva une ribambelle de vêtements tous les plus jolies et saillants les uns des autres. Je pris un pyjama au hasard et m’habilla vite fait. Je me glissa alors dans mon lit un peu chaud, me cala et m’endormis tranquillement et l’esprit en paix. |
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